Kolektiva
Une volonté de rendre simple le faire ensemble, un besoin de comprendre.
2021
Si la pratique du collectif est avant tout une aventure humaine, les status juridiques et les modes d’organisation jouent un rôle essentiel dans la force et la pérennité des initiatives collectives.
Kolektiva est un outil interactif web qui propose de partir à la rencontre de collectifs existant et de comprendre leurs choix en matière de statuts juridiques.
Genèse du projet
Dans le cadre d’une recherche sur l’autoproduction nutritive je m’intéresse au sujet de la conservation et de la transformation des aliments. À savoir : la conserverie, les méthode de cuisson, de fumage etc… Ce qui m’intéresse au travers de ces pratiques, c’est l’idée de faire ensemble.Dans beaucoup du culture la transformation des aliments est une démarche collective qui s’effectue souvent à une saison particulière, après des récoltes par exemple, ou lors de grandes occasion. Aujourd’hui ces méthode là reviennent - notamment au travers de fours a pain collectif - et se pose donc la question du cadre qui les entourent puisque ce n’est plus seulement des pratiques de subsistance mais plutôt des valeurs de vivre-ensemble et de partage qui les font renaitre.
Je m’interroge alors sur la manière dont on peu faire les choses ensemble et décide d’y dédier mes recherches.
Elles sont rassemblées dans un carnet dont le but était de centraliser les recherches et expériences menées autour de la notion de collectif, de partage, et de communauté. Analyser leur raison d’être, leur fonctionnement, L’idée était de faire ressortir des principes. Si on veut faire commun, qu’est-ce qui fonctionne et à quelle échelle.
Dans le cadre d’une recherche sur l’autoproduction nutritive je m’intéresse au sujet de la conservation et de la transformation des aliments. À savoir : la conserverie, les méthode de cuisson, de fumage etc… Ce qui m’intéresse au travers de ces pratiques, c’est l’idée de faire ensemble.Dans beaucoup du culture la transformation des aliments est une démarche collective qui s’effectue souvent à une saison particulière, après des récoltes par exemple, ou lors de grandes occasion. Aujourd’hui ces méthode là reviennent - notamment au travers de fours a pain collectif - et se pose donc la question du cadre qui les entourent puisque ce n’est plus seulement des pratiques de subsistance mais plutôt des valeurs de vivre-ensemble et de partage qui les font renaitre.
Je m’interroge alors sur la manière dont on peu faire les choses ensemble et décide d’y dédier mes recherches.
Elles sont rassemblées dans un carnet dont le but était de centraliser les recherches et expériences menées autour de la notion de collectif, de partage, et de communauté. Analyser leur raison d’être, leur fonctionnement, L’idée était de faire ressortir des principes. Si on veut faire commun, qu’est-ce qui fonctionne et à quelle échelle.
Je conçoit une grille d’analyse dans laquelle on retrouve 12 points précis, notamment le statut, le milieu d’implantation, le nombre de personne, le mode de gouvernance, etc… Derrière cette douzaine de variables chacun des collectifs cache un fonctionnement tout particulièrement complexe.
La quantité de collectifs analysés ne me permet pas de me prononcer sur des corrélations entre modes de gouvernance et source de difficulté par exemple,
pour autant à l’issue ce cette recherche je tire plusieurs enseignement :
J’en reviens à mon sujet de production alimentaire et j’observe que la population qui est prête à initier un changement dans sa consommation alimentaire rencontre plusieurs problèmes :
Le premier, c’est la recrudescence de modèles basé sur la consommation, l’usager qui veut changer son régime alimentaire en vertu d’une production plus propre ou plus locale se voit proposer des offres ou il est seulement consommateur et il ne peut prendre partie, ou participer.
Le second problème c’est le manque considérable d’informations accessible et intelligible sur les statuts des collectifs, certains statuts sont trop lourd à gérer est prennent mal en compte la fluctuation de l’engagement des personnes. Ce qui fait qu’aujourd’hui on à du mal à se projeter dans une action collective.
C’est ce qui nous amène au dernier point, la difficulté de conserver un engagement des membres du collectifs, ou même plus largement, la difficulté de maintenir en vie le collectif en prenant en compte la fluctuation des l’engagement de ses membres
La quantité de collectifs analysés ne me permet pas de me prononcer sur des corrélations entre modes de gouvernance et source de difficulté par exemple,
pour autant à l’issue ce cette recherche je tire plusieurs enseignement :
- Il y’a énormément de possibilité d’organisation structurelle tant d’un point de vu des statuts que des modes de gouvernance.
- Les principales raisons d’êtres d’un collectif c’est la volonté de faire face à problème commun ou des valeurs partagées, et l’idée que l’union fait la force
- Souvent les problèmes auxquels il fait face, c’est l’organisation, la répartition des taches, et la difficulté de conserver un engagement de ses membres jusqu’a l’accomplissement de l’objectif qu’il s’était fixé.
J’en reviens à mon sujet de production alimentaire et j’observe que la population qui est prête à initier un changement dans sa consommation alimentaire rencontre plusieurs problèmes :
Le premier, c’est la recrudescence de modèles basé sur la consommation, l’usager qui veut changer son régime alimentaire en vertu d’une production plus propre ou plus locale se voit proposer des offres ou il est seulement consommateur et il ne peut prendre partie, ou participer.
Le second problème c’est le manque considérable d’informations accessible et intelligible sur les statuts des collectifs, certains statuts sont trop lourd à gérer est prennent mal en compte la fluctuation de l’engagement des personnes. Ce qui fait qu’aujourd’hui on à du mal à se projeter dans une action collective.
C’est ce qui nous amène au dernier point, la difficulté de conserver un engagement des membres du collectifs, ou même plus largement, la difficulté de maintenir en vie le collectif en prenant en compte la fluctuation des l’engagement de ses membres
C’est sur cette base là que j’ai définit mon intention.
J’imagine une plateforme qui permette à des particuliers de se réunir en collectifs, en leur offrant les outils d’organisation et de gestion nécessaires, pour trouver des alternatives aux produits des grandes surfaces.
Je la nomme Kolektiva
La plateforme aurais pu prendre un certains nombres d’orientations À long terme je l’imagine comme :
Un outil pédagogique autour des question de gouvernance.
un Média pour les collectifs avec :
Et en derniers lieu un espace d’échange avec :
Pour commencer ce travail je me suis concentré sur 2 aspects, la vulgarisation des statuts juridiques et la mise en valeur des initiatives collectives.
La plateforme que j’ai nommé Kolektiva propose de partir à la rencontre de collectifs existant et de comprendre leurs choix en matière de statuts juridiques.
J’imagine une plateforme qui permette à des particuliers de se réunir en collectifs, en leur offrant les outils d’organisation et de gestion nécessaires, pour trouver des alternatives aux produits des grandes surfaces.
Je la nomme Kolektiva
La plateforme aurais pu prendre un certains nombres d’orientations À long terme je l’imagine comme :
Un outil pédagogique autour des question de gouvernance.
- Outils de gestion et d’organisation
- Vulgarisation de statuts juridiques
- Espace de mentoring.
un Média pour les collectifs avec :
- Retours d’expérience
- Interview
Et en derniers lieu un espace d’échange avec :
- Mise en relation entre initiateurs et participants
- De l’incubation pour les porteurs de projets
- Un espace de vente.
Pour commencer ce travail je me suis concentré sur 2 aspects, la vulgarisation des statuts juridiques et la mise en valeur des initiatives collectives.
La plateforme que j’ai nommé Kolektiva propose de partir à la rencontre de collectifs existant et de comprendre leurs choix en matière de statuts juridiques.
︎︎︎ Décourvir le prototype de la plateforme